dimanche 28 juin 2009

Le 17 Août, sortie du nouveau U2 | I'll Go Crazy If I Don't Go Crazy Tonight

Le 17 Août, s'il n'y a pas de modif, toutes les radios de la planète vont diffuser le nouveau U2 en exclusivité !!! ;-)

A écouter, via le "The Late Show, With David LETTERMAN"



Nous aurons sur le single :

1. I'll Go Crazy If I Don't Go Crazy Tonight (Radio Edit): 3:48
2. I'll Go Crazy If I Don't Go Crazy Tonight (Single Version): 4:13
3. I'll Go Crazy If I Don't Go Crazy Tonight (Dirty South Club Mix): 7:10
4. I'll Go Crazy If I Don't Go Crazy Tonight (Dirty South Radio Mix): 4:27

+ d'infos sur U2 via U2Achtung.com

samedi 27 juin 2009

Qui a tué Michael JACKSON ?

Voici le meilleur article que j'ai pu lire, depuis la disparition de Michael JACKSON.

Comme on a entendu tout, et surtout n'importe quoi, il est bon de lire quelque chose qui - à mes yeux - résume la vie de MJ d'une façon élégante et juste.

Il est signé de Philippe BARBOT, sur son blog "C'est ma tournée".

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Le choc. L'annonce, hier soir, de la mort de Michael Jackson a provoqué partout dans le monde les mêmes réactions que la disparition d'Elvis ou de John Lennon : tristesse, stupeur, incompréhension, incrédulité. Comme si une star ne pouvait pas mourir. Comme si on avait oublié que, pour célébrissimes qu'ils furent, ces gens n'étaient après tout que des êtres humains, bâtis comme nous autres, avec des problèmes d'artères, de vieillissement, voire d'addiction, des angoisses existentialistes, des emmerdements en tous genres. Les soucis, on le sait, Michael n'en manquait pas ces dernières années : échec (relatif) de son album « Invincible », ennuis financiers, tracas (c'est un euphémisme) judiciaires, et, surtout, cette spectaculaire dégradation physique qui nous transformait en spectateurs atterrés et voyeurs, comme si on assistait à un remake perpétuel du film « Elephant man ».

Michael Jackson n'avait que cinquante ans. C'est peu, et c'est beaucoup pour quelqu'un qui, dès l'âge de huit ans, a du apprendre à évoluer dans la jungle carcérale du show business planétaire. Se résoudre à ne point vivre la vie de tout le monde, à n'exister que claquemuré entre murailles luxueuses et gardes du corps salariés, à ne paraître en public que dans un contexte théâtral ou excentrique. Pas une vraie vie, que la vie de star, même si c'est celle dont rêvent tant de jeunes candidats à la gloire, encouragés par une société médiatique où les « people » ont remplacé les divinités d'antan.

Qui a tué Michael Jackson ? Sa famille, qui l'a privé d'une enfance normale et légitime ? Ses producteurs-managers- hommes d'affaires, pour qui il ne devait représenter qu'une insolente manne financière ? Ses fans, qui traquaient l'idole avec une hystérie extatique proche de la violence ? Son souci de perfection, à la foi mégalomane et infantile, qui l'a conduit à torturer son corps et son esprit pour devenir l'un des plus extraordinaires showmen de l'histoire du divertissement mondial ? Sans doute tout cela à la fois. Comme tant d'autres avant lui, Michael Jackson a succombé à la même ferveur populaire, la même excitation barbare qui, il y a des siècles, animait déjà les jeux du cirque dans les arènes romaines.

Mais finalement, peu importe. Nous restera de lui l'image d'un artiste hors du commun qui a bouleversé le cours de la musique contemporaine, un extraordinaire « entertainer » (l'expression anglo-saxonne est la plus adéquate) dont le destin, à la fois glorieux et tragique, noble et vulgaire, se résumait à distraire les foules le mieux possible. En cela, il demeurera à jamais dans la mémoire collective, la nôtre : celle d'incurables midinettes sans cesse en quête de rêve. Merci, Michael, de nous l'avoir offert.

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lundi 22 juin 2009

Dave Stewart réclame plus de transparence et de vélocité dans le paiement des royautés.


Il fait la couverture de Billboard ce mois-ci et réclame plus de transparence dans le système de paiement des royautés aux artistes, qu’il juge archaïque.

Dave Stewart, ex-guitariste d’Eurithmics, compositeur et producteur prolifique, s’étonne de ne pas bénéficier, en tant qu’artiste, du même traitement qu’un vendeur de t-shirt à Milan, dont le compte bancaire fut crédité en moins de 2 secondes lors d’un récent achat, après que les informations sur la transaction et le feu vert de sa banque aient "parcouru 30 000 kilomètres et transité par 12 pays différents". Il en est convaincu : "Dans le futur, toutes les sources de revenus nous remonteront en temps réel, avec des coûts de transaction prédéfinis et concurrenciels."

En attendant, les artistes doivent se contenter de délais de reporting très lents et n’ont que peu de moyens d’exercer un contrôle de gestion. Les distributeurs de contenus ont été "lents ou réticents" à adopter les nouveaux médias, reproche Dave Stewart. Ils "dépossèdent l’artiste d’une part importante de son contrôle sur la création, imposent des contraintes de format, de fonctionnalité, d’interactivité et autres. " Autant de barrières dressées par le copyright qui limitent, selon lui, les modèles et les méthodes de marketing et de distribution de la musique qui peuvent être mises en oeuvre.

Jugement sans appel : "La distribution numérique et ses méthodes de gestion des droits ne sont pas parvenues à profiter des avancées technologiques et des nouvelles opportunités de business pour mieux servir, à la fois, les intérêts des consommateurs, ceux des artistes et des grands groupes."

Source : ElectronLibre

dimanche 14 juin 2009

Linkin Park | New Divide > Vidéo Officielle

Linkin Park – “New Divide”

samedi 13 juin 2009

HOUSEFREAKS ! Une WebRadio à découvrir


Voici un article de Passingphantom, lu sur Maxximum.com. Comme à son habitude, il est très pointu et exhaustif ;-)

Eric MADELON

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Les webradios sont l'avenir, c'est indéniable.

Devant le peu d'intérêt pour la radio numérique terrestre (où que ce soit dans le monde, sauf aux USA avec le sat) et les évolutions de la téléphonie mobile, les webradios ont un avenir qui s'annonce des plus brillants. Tout le monde peu faire sa propre webradio et à ce titre, le problème c'est qu'il y a à boire et à manger dans tout ça et que, trouver quelque chose de qualité relève du parcours du combattant pour le publique lambda (pour peu qu'il en ait quelque chose à faire).

A ce titre dans les nouvelles musiques, une radio sort du lot car elle est très originale et elle symbolise ce vers quoi devront évoluer les webradios, si elles veulent se démarquer, pour peu qu'elles trouvent un modèle économique viable:

House Freaks

Pas de playlist, pas de mix pré-enregistrés ou piratés sur le net mais des DJ's , LIVE 24/24.

Les anglais se sont fait une spécialité de ce genre de radios. Dès le tout début des années 2000, on pouvait entendre pirate Radio, puis après, Pirate Revival (qui existe toujours), OSA Radio ou Break Pirates, toutes des radios oldskool, faites par des anciens activistes des radios pirates londoniennes des années 90 91 92.... Le problème alors était le son souvent pas bon, des émissions plutôt irrégulières etc.

Avec le développement du haut-débit, tout le monde est capable d'envoyer de chez soi, un stream vers un serveur central qui ensuite va assurer la diffusion vers les internautes, c'est le principe de HOUSEFREAKS. Les DJ's mixent d'Australie, Nouvelle-Zélande, USA, royaume-Unis, Allemagne et j'en passe. Toutes les formes de House y sont représentées: soulful, elecro, dancefloor, breaks, techno, deep, il y a aussi pas mal de funk et les meilleures émissions oldskool que j'ai entendues depuis le rêvemaxx), le tout avec un traitement digne de ce nom (une quasi première pour ce genre de radio)....

Bref, c'est à écouter absolument!

l'adresse du stream: http://66.90.104.206:9000

Une autre radio dans le genre (100% soulful house) est Pre Party Radio.
Elle est hollandaise. Enormément d'excellents DJ's US, à ne pas rater non plus, l'émission "voices" faite par un DJ japonais le dimanche matin (émission disco, funk et garage) et tant d'autres choses!

Bon, j'ai écrit un roman, je sais mais, ça vaut le coup!

ENJOY!!!!

Ecoutez BEATSCAPE:
le samedi à 22H sur
RAAR FM

le jeudi à 21H sur Emergence fm 93.7 FM, LIMOGES (radio 100% eklek'tronik

le vendredi à 22H sur
Maxxima.org

le dimanche soir à 00h00 sur
SWEET FM

le samedi matin 9H (00h00 heure californienne) sur
Da Qube

mercredi 10 juin 2009

Joachim Garraud | The Answer

L'institut TNS va traquer la musique sur tous les médias

La filiale de WPP mise sur les défis du Net pour s'attaquer à Yacast, leader historique de la veille musicale.

TNS Media Intelligence (TNS MI) prend sa revanche. Depuis huit ans, l'institut d'études voit son concurrent Yacast s'efforcer de prendre pied dans son activité historique de la mesure des investissements publicitaires. Voilà que TNS MI part à l'assaut de la spécialité de son rival : la veille musicale. L'institut vient de remporter l'appel d'offres du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) pour mesurer les quotas de diffusion de chansons françaises à la radio. En parallèle, TNS lance un «contrôle de diffusion des clips vidéo musicaux sur le Web» . D'autres services sont prévus courant 2009.

«Aujourd'hui, notre technologie sur l'image et le son nous permet de reconnaître une publicité, donc aussi un clip, explique Éric Trousset, directeur marketing du pôle investissements publicitaires de TNS MI. Notre savoir-faire permet de proposer une vision globale de l'artiste, en évaluant la pression publicitaire, médiatique et la réa lité de sa diffusion en radio et télévision.» L'institut surveille ainsi déjà l'évolution des budgets publicitaires de l'industrie musicale.

L'artiste géré comme une marque

Depuis 2006, les dépenses sont en forte baisse et ont encore diminué de 31,8 % sur les quatre premiers mois de l'année 2009. «À l'instar des ventes numériques, les investissements sur Internet ne prennent pas le relais. Comme le modèle économique, les moyens de promouvoir changent comme montre l'exemple de Grégoire (artiste lancé grâce au soutien des internautes, NDLR)» , observe Éric Trousset. Pour TNS MI, le croisement des données issues des veilles publicitaire, éditoriale et musicale permettrait ainsi de travailler davantage les artistes comme des marques.

Yacast, qui a bâti sa réputation sur la mesure de la musique, estime déjà répondre à ces besoins. «Depuis neuf ans, nous faisons de la veille musicale pour l'ensemble de la filière en radio, télévision, clubs et désormais aussi sur le Web», souligne Ali Mouhoub, directeur général adjoint en charge de l'activité musique de Yacast. Candidat malheureux à l'appel d'offres du CSA, l'institut estime avoir perdu sur le prix et non sur son savoir-faire. Sous contrat avec le Snep et la Sacem jusqu'en 2012, Yacast propose ainsi une offre globale qui traque la diffusion en radio, les clips en télé ainsi que les apparitions dans des émissions de variétés comme «Nouvelle Star». Pour Ali Mouhoud, «les médias sont additionnés très vite pour avoir un maximum d'exposition». L'enjeu : mesurer son impact.

Les agences de promotion musicale sont donc très attentives aux outils de mesure. «Avant, une grande radio pouvait suffire pour imposer un tube, aujourd'hui, il faut multiplier les tuyaux, le travail de segmentation, les impacts. Or, sur le Web, nous avons besoin de ces outils : c'est bien de chiffrer le nombre de vues d'une vidéo, mais en combien de temps ce score a-t-il été obtenu ?», indique Cocto, directeur et fondateur de l'agence Music Media Consulting, qui accompagne majors et labels indépendants. L'avis d'Olivier Montfort, président d'EMI Music France, est plus nuancé : «La veille musicale est un outil important pour le suivi de nos artistes et le Web est un média complexe, mais nous sommes dans un métier de création. Les études valident des choix et confirment des intuitions. Si on suit seulement les tests, on va dans le mur».

Source : Marie-Catherine BEUTH

jeudi 4 juin 2009

Voyage au pays de l'après-com'


"Trop de réflexion tue l'action", dit le vieil adage.

Mais dans nos "boîtes" pseudo-modernes où souvent on embauche un nouveau manager qui vient nous vendre des concepts obsolètes dont il ne comprend même pas l'essence, on se fait parallèlement infiltrer par des consultants américains, qui ramènent de beaux € au pays du $...

Il n'y a donc ni réflexion, ni action, puisque que l'on applique des concepts has-been, puis on bétonne le tout sous la validation d'un consultant américain... pour se couvrir en cas d'échec...

C'est donc une bouffée d'air frais qui m'est arrivée en lisant des articles signés de Dominique ANNET.

Si vous avez un peu de temps, je vous invite à lire...

lundi 1 juin 2009

Elections Européennes | Francis Lalanne à Albertville


Il est + facile de rester dans la caricature, dans la forme, que dans le fond. On oublie pourtant souvent que "la forme tue l'esprit"...

Francis LALANNE se lance dans la politique. Sa vision du rôle de l'artiste dans la société est conforme à celle de Molière... Je vois d'ici les critiques, mais si ceux qui le raillent avaient seulement 10% de sa culture et de sa sensibilité, le monde tournerait plus sereinement...



Vidéo : TV8 Mont-Blanc