vendredi 30 janvier 2009

Sécurité maximale pour l'écoute par la presse du nouveau U2

PARIS, 30 jan 2009 (AFP) - Des mesures de sécurité draconiennes ont entouré les séances d'écoute pour la presse du nouvel album de U2, vendredi dans les locaux parisiens d'Universal, révélatrices de la paranoïa provoquée chez les maisons de disques par le piratage sur internet, a constaté un journaliste de l'AFP.

Pour pouvoir pénétrer dans la salle où était organisée l'écoute, les journalistes ont dû remettre leur téléphone portable à un vigile. Ils ont également dû déposer à l'entrée leur blouson et leur sac pour ne garder que leur stylo et leur bloc-notes.

Deux séances d'écoute successives de "No Line On The Horizon", qui sortira le 27 février en France (le 2 mars au Royaume-Uni, le 3 aux Etats-Unis) étaient organisées pour les journalistes à partir de 13h45. Ces derniers avaient dû s'inscrire au préalable auprès d'AZ, l'un des labels d'Universal, qui commercialisera le disque dans l'Hexagone.

AZ avait indiqué quelques jours auparavant qu'il s'agissait pour l'heure des deux seules écoutes prévues avant la parution du disque du groupe irlandais emmené par le chanteur Bono. Pour ce genre de grosses sorties, les maisons de disques disposent d'un nombre très restreint de copies, qui voyagent souvent d'un pays à l'autre, pour limiter les risques de piratage.

Cette pratique tend à se généraliser dans l'industrie du disque. De plus en plus souvent, les critiques musicaux doivent s'appuyer sur une unique écoute pour écrire sur un album avant sa sortie. De l'avis de la plupart d'entre eux, l'impossibilité d'écouter l'album plus en profondeur ne permet pas de dépasser le stade de la simple première impression.

Fin mai 2008, l'écoute du dernier album des Anglais de Coldplay, dans les locaux parisiens d'EMI, s'était accompagnée de mesures de sécurité comparables, avec en plus une fouille des journalistes au détecteur de métaux et la signature d'un contrat leur interdisant de parler du disque avant une date donnée.

Ces pratiques ne sont pas l'apanage des seules "majors". En octobre, le label indépendant britannique Domino avait imposé un embargo similaire aux journalistes français lors de l'écoute de l'album du groupe écossais Franz Ferdinand dans les locaux parisiens du distributeur Pias.

TRAVIS le 10 février 2009 au Casino de Paris




mercredi 28 janvier 2009

Duffy, nouvelle égérie de Coca-Cola light


La chanteuse Duffy devient la nouvelle égérie de la campagne de publicité de Coca-Cola light, conçue par Mother London, qui sera lancée début 2009 dans plusieurs pays européens.

La chanteuse, qui apparaît pour la première fois dans une campagne de publicité, sera mise en scène dans l’une des séries de spots de 30s. et 60 s. aux côtés d’autres jeunes femmes revendiquant leur droit à résister aux pressions de la vie quotidienne contemporaine.





Source: CB News

lundi 26 janvier 2009

Franz Ferdinand en privé



Franz Ferdinand donnera un concert privé au Studio SFR de Paris le 3 février prochain.

Cette prestation sera diffusée en direct sur Internet ainsi qu'à l'antenne de la radio OUI FM.

Source: SoV et OUI FM

White Lies | To Lose My Life > Album N°1 en Angleterre



Le prochain single sera "Farewell To The Fairground"

Podcast Vidéo | Live at Rolling Stone



Copiez ce lien dans votre lecteur de Podcasts Vidéo, et vous aurez le plaisir de découvrir The Ting Tings en acoustique Guitare/Voix avec Shut Up & Let Me Go !

Vous aurez aussi Kaiser Chiefs pour le même prix ;-)

http://podcast.rbn.com/rstone/rstone/download/videopodcasts/rslive.xml



dimanche 25 janvier 2009

Mon 1er 33T est mort.

Gérard BLANC, chanteur du groupe des années 70 MARTIN CIRCUS , est décédé aujourd'hui.

Affectueuses pensées...







Les radios musicales ont-elles encore un avenir?



Supplantées par Internet, confrontées au vieillissement de leurs auditeurs et à la baisse de leur audience, NRJ, Fun ou Virgin vont devoir rebondir. Panique on the air.

Vieilles, usées, inutiles. Ainsi donc, à croire quelques embaumeurs de cadavres, les radios musicales ne seront bientôt qu'un souvenir, témoins jaunis d'une époque florissante où, alors épanouies et conquérantes, elles se trouvaient en tête des audiences, laissant loin derrière elles les radios généralistes. Mais voilà, les années 90 sont passées et l'arthrose est venue s'installer dans les articulations de ces stations qui croyaient à leur éternelle jeunesse. Ainsi Fun, Virgin, Chérie FM, Nostalgie et NRJ – la plus emblématique d'entre elles – ont perdu de leur superbe. Depuis six ans, elles assistent à la dégringolade de leur audience. En 2002, NRJ coiffait la couronne de première radio de France avec 13,4 % d'audience et six millions d'auditeurs. Aujourd'hui, les chiffres de Médiamétrie de janvier la donnent à 10,7 %, loin derrière RTL, à peine au-dessus de France Inter... A qui la faute ? A Internet, bien sûr, qui renverse tout sur son passage. Le constat est partagé par tous. Qu'ils s'appellent Jean-Christophe Lestra, directeur des radios musicales du groupe Lagardère (Virgin Radio et RFM), Jérôme Fouqueray, responsable du pôle musical du groupe RTL (Fun et RTL2), Jean-Paul Baudecroux, président-fondateur du groupe NRJ, ou encore Pierre Bellanger, président-fondateur de Skyrock, la radio rap et R'n'B, la seule à plutôt résister à la crise.

Quel intérêt peut-on encore trouver à se brancher sur une station pour écouter de la musique, alors qu'on trouve tout sur le Net ? Pourquoi se contraindre aux choix d'une radio FM, puisque des sites comme YouTube, Dailymotion ou Deezer offrent instantanément et gratuitement des dizaines de milliers de titres ? Désormais, un clic suffit pour échanger des fichiers entre amis, podcaster chanson ou émission (y compris, dès lundi, sur le nouveau player de Télérama.fr), écouter sur son ordinateur ou son iPhone soit une station hertzienne, soit l'une des dizaines de milliers de webradios, toutes plus inventives les unes que les autres et qui se multiplient sur la Toile. Non seulement ces radios proposent toutes sortes de musiques, mais aussi offrent la possibilité de constituer son programme selon ses goûts et ses centres d'intérêt. Des sites comme pandora.com permettent en entrant un seul titre d'écouter tous ceux qui en sont proches. A l'instar de l'industrie du disque, qui se cherche un nouveau destin, les radios musicales privées traditionnelles ont perdu leur légitimité.

« L'âge d'or des radios musicales est terminé, assure Aymeric Mantoux, auteur d'une enquête sur NRJ (1). Certes, Internet remet en cause le modèle économique de la FM, comme les radios libres ont remis en cause celui des "périphériques" (2). Mais ces patrons qui avaient été visionnaires en 1981 ont complètement raté la révo­­lution numérique. Ils ne l'ont pas vue venir parce qu'ils n'y ont pas cru. NRJ, pour parler plus spécifiquement d'elle, a perdu ses repères. Voici vingt-sept ans qu'elle occupe le paysage, avec le même concept, la même direction. »

L'usure, donc. Avec leurs dirigeants uniques, leurs auditeurs vieillissants, leurs marques bien installées qui semblent ne plus offrir de surprises, ces radios sont au bout d'un cycle. « Quand vos auditeurs vieillissent comme ceux de NRJ, puisque qu'ils ont entre 25 et 70 ans, c'est le début des emmerdes. Parce que cela oblige à une programmation hybride », explique Roberto Ciurleo, ancien directeur des programmes de NRJ, parti lancer en 2007 un nouveau bouquet de radios numériques sous le titre générique de Goom Radio. Avec un budget de 50 millions d'euros et cinquante salariés, il entend bien terrasser la concurrence en profitant des possibilités immenses de la Toile. « Yacast, organisme qui analyse de près la consommation de la musique, affirme qu'entre 2000 et 2008 seule 4 % de la production musicale a été diffusée en radio-télé. Il existe cinq à six millions de titres disponibles sur iTunes et seuls 4 % du catalogue réalisent 80 % du chiffre d'affaires. » Il y a donc de la place mais pas de place pour tout le monde. Dans ce secteur extrêmement concurrentiel, seuls quelques heureux gagneront en effet le loto de cette nouvelle diffusion musicale. NRJ le sait, qui multiplie les procès contre les dirigeants de Goom Radio, accusés de copiage, pillage et concurrence déloyale. La guerre fait rage.

Contraintes de se remettre en cause, les radios ont toutes essayé de vitaminer leur grille de la rentrée de septembre en débauchant des animateurs, de célèbres DJ et même des dirigeants. Ainsi, Jean-Paul Baudecroux a fait revenir à la direction des programmes Christophe Sabot, un ancien de NRJ débauché par Lagardère. Objectif : remonter l'audience et se lancer à corps perdu sur le Net. Avec pour mots d'ordre : se montrer résolument optimistes et assener des slogans comme « Internet est le meilleur ami de la radio », « Nous voulons devenir un iPod vivant » ou « Nous sommes très confiants pour l'avenir », « Notre but est à nouveau de devancer RTL ». Un rêve certainement, une illusion plus sérieusement. Contrainte de cesser d'être autre chose qu'un déversoir de hits et une machine à fabriquer de l'argent, la radio n'a en tous les cas pas d'autres choix que de changer son image et mettre un peu de contenu là où celui-ci était quasi inexistant.

« Leur tentative de changer de stratégie, de logo ne suffira pas », prévoit Yves Malbrancke, ancien de NRJ (encore !) parti créer son entreprise de conseil. Pas gagné, en effet, le redressement souhaité, l'implantation sur le Web. Trop tard. Ou du moins très difficile. Il aurait fallu que NRJ prenne le train d'Internet dès le début comme le fit Skyrock en créant ses Skyblogs, dont le nombre ne cesse de progresser de « 30 % chaque année ». Autre atout dans la manche de la radio de Pierre Bel­langer : le maintien d'émissions de libre antenne. Grâce à Difool, son animateur vedette depuis douze ans, elle reste la première radio de France à partir de 21 heures. Avec 15,4 points d'audience, loin devant Europe 1 et ses 7,3.

Dans un texte (3) où il livre sa « vision de la radio à l'âge d'Internet », Pierre Bellanger considère que sa force et son avenir résident dans son essence même, c'est-à-dire « sonorité vivante ». « Qu'elle soit incarnée par des personnalités ; qu'elle s'exprime par l'émotion, le réel, la participation des auditeurs, la découverte ; qu'elle s'exprime aussi par le choix musical, affaire de talent, d'intuition et d'expérience, un choix qui ne suit pas, mais qui précède. » Il poursuit : « Il n'y a pas de fatalité à ce que le hérisson soit écrasé par la voiture. La chance lui est donnée de prendre le volant. La radio traditionnelle a un extraordinaire champ de possibles et un destin positif tout tracé. » Le déclin de ces radios pour jeunes ne serait pas inexorable. Alain Weill, ancien NRJ, président-fondateur de RMC Groupe, l'assure. « Il ne faut pas céder au pessimisme ambiant. Réagir est possible. Comme la voiture, la radio musicale va trouver un nouveau modèle. » A condition d'abandonner les stratégies de low cost et d'injecter une bonne dose d'inventivité.


Véronique BROCARD pour Télérama

(1) NRJ, L'empire des ondes, d'Aymeric Mantoux et Benoist Simmat, éd. Mille et Une Nuits.

(2) A lire : La Bataille des radios libres 1977-1981, de Thierry Lefebvre, éd. INA.

(3) Disponible sur www.skyrock.fm/bellanger.

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Quelques remarques :

- Pandora.com ne fonctionne pas depuis la France ;-)
- N'oublions pas Last FM
- Il ne suffit pas de dire "Internet-Internet" pour que ça révolutionne le modèle économique de la radio.
- Communiquer sur son site internet parce que c'est à la mode, alors qu'on ne lui donne pas de budget, c'est assez pathétique.
- Communiquer sur ses webradios alors que le site est truffé de bugs, c'est peut-être "mettre la charrue avant les boeufs."
- Communiquer sur son site internet alors qu'un dirigeant veut supprimer les webradios du groupe, parce que "ça coûte cher", j'avoue que c'est collector !
- Réfléchir ne veut pas forcément dire appeler Los Angeles à chaque fois que l'on a envie de faire pipi, pour savoir s'il est opportun d'y aller...
- Communiquer sur son site internet implique - en amont - de ne pas laisser passer des pubs qui vantent les webradios de vos concurrents directs...

Eric MADELON

samedi 24 janvier 2009

vendredi 23 janvier 2009

AC/DC : éleveurs de champions...



Ils viennent aussi d'Australie... L'album est connu depuis pas mal de mois, et je vous l'avais passé à la radio. AIRBOURNE prépare un nouvel album pour cette année !

jeudi 22 janvier 2009

Anecdote : quel fût le pire slogan de radio ?

"Le pire slogan de radio ?

Sans hésiter celui qui va suivre. Pourquoi ? Je vais vous confier cette anecdote véridique que m'a racontée un jour un patron de radio locale. Ce dernier (...) "

La suite, sur le blog de Stéfan CAZA , si vous avez envie de rigoler ;-)

Eric MADELON

mardi 20 janvier 2009

La blague du jour ! Pete DOHERTY va bosser un peu...

Pete DOHERTY annonce une tournée anglaise :-)

Les paris sont ouverts : combien de dates annulées ?

En fait, c'est même pas drôle...

Pour l'avoir interviewé à Europe 2, j'avoue que c'est triste. Il dégage + en vrai qu'à la télé, et il est très doux, intelligent, et pas énervé quand on ne lui pose pas des questions débiles.

La drogue, c'est juste une belle merde... Mais bon... On ne peut pas forcer un âne à boire quand il n'a pas soif ! Il est grand, après tout, et je ne suis pas sa mère ! ;-)


Eric MADELON

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Pete Doherty announces solo UK tour

Babyshambles man to hit the road for 'Grace/Wastelands'

Pete Doherty has announced details of a new solo UK tour.
The Babyshambles man will play 12 dates following his two Shockwaves NME Awards shows in London and Glasgow at the end of February.
The dates coincide with the release of Doherty's forthcoming solo album, 'Grace/Wastelands', set for release on March 16.

Pete Doherty will play:
London Shepherd's Bush Empire (Shockwaves NME Awards show) (February 22)
Glasgow Barrowlands (Shockwaves NME Awards show) (24)
Cardiff University Great Hall (March 13)
Southampton Guildhall (15)
Norwich UEA (16)
Lincoln Engine Shed (17)
Nottingham Rock City (18)
Brighton Dome (19)
Folkestone Lees Cliff Hall (20)
Leeds O2 Academy (23)
Grimsby Auditorium (24)
Birmingham O2 Academy (25)
Newcastle O2 Academy (26)
Edinburgh Picture House (27)

To check the availability of Pete Doherty tickets and get all the latest listings, go to NME.COM/GIGS now, or call 0871 230 1094.






J'avais écrit ça à l'époque:


Le groupe est là, on attend Pete DOHERTY qui sort de l'Eurostar à 18h50.
Pete arrive à 19h40. Cool ! Tout le monde est là :-)

Il arrive, prend ses marques, tripote sa guitare, embrasse chaleureusement ses amis, et mon premier contact avec lui est inoubliable ! Je m'approche vers lui pour l'accueillir, me présenter, lui expliquer le déroulement de l'heure que nous avons avec eux. Il me sert la main et me demande gentillement en anglais : "où sont les toilettes ?" J'avoue que ça m'a fait rire, mais comme c'était demandé gentillement... ;-)

La pendule tourne, je comprends que chacun doit se détendre, mais comme je dois aller à l'antenne à 21h00, il va falloir s'exciter un peu... Une jeune brune anglaise qui doit faire partie du management anglais nous envoie chier poliment, Bart (le traducteur) & moi. Je ne dis rien... 5 minutes après, avec mon plus bô sourire commercial, je vais voir un mec que j'avais repéré. Un roadie, j'imagine. Je lui explique en anglais entre 4 yeux qu'il faut y aller "maintenant"! Il comprend tout à fait, et va chercher la petite troupe. Tout le monde arrive, et s'installe. Comme quoi, c'est toujours avec l'entourage des artistes que les problèmes arrivent... Les artistes sont globalement cool. Bertrand de la maison de disque Française est cool aussi. (et on ne peut pas me soupçonner de flagornerie avec les maisons de disque Françaises...)

Pour l'itw, je ne souhaitais pas faire dans le trash-journalistique. Je voulais juste parler de musique, et Stan qui faisait l'itw avec moi, de même.

Ils s'attendaient tellement à se faire démonter la tronche par des journalistes, qu'ils étaient un peu tendus du string au début, mais au fil des questions, ils sont devenus beaucoup plus bavards, et ont même commencé à dire des conneries, mais se sont excusés car s'était intraduisible. :-)

Il y a en gros 40 min d'itw brute, et nous faisons le montage aujourd'hui mardi 16 Octobre. Vous aurez le résultat à l'antenne vendredi dès 23h dans HRH Live.

A la fin de l'itw, il était prévu qu'ils jouent 2 titres, ils en ont fait 3, + 2 rejoués car ils trouvaient qu'il n'étaient pas assez bons la première fois ! Je trouve ça pro. même si ça peut sembler normal. En fait, Pete s'est détendu au fil de l'heure, et semblait heureux en jouant, voyant que le public mi-pro mi auditeurs était réceptif ;-)

Wizzgo: pas de nouvelles… mauvaises nouvelles.

Philippe 19 janvier 2009

Depuis quelque temps, nous ne vous donnions plus de nouvelles du front, mais je préfère vous prévenir, elles ne sont pas bonnes.

Pendant ces dernières semaines nous avons recherché un accord avec les chaînes de Télévisions du groupe M6, TF1 et NT1. Non pas pour négocier avec ces dernières l'enregistrement de leurs programmes et relancer le service, mais tout simplement pour leur demander de renoncer à tout ou partie des extraordinaires condamnations financières et supprimer ainsi l'épée de Damoclès qui pendait au dessus nos têtes. Mais en vain…

Après le jugement du 25 novembre dernier, nous pensions avoir touché le fond en matière d'incompréhension judiciaire. Aussi, les jours passants sans réelle volonté des chaînes de trouver un accord, nous avons décidé de présenter un ultime recours en référé devant le premier Président de la Cour d'appel de Paris dans l'unique but de suspendre le caractère exécutoire des sanctions financières. En effet, leur exécution allait entraîner pour wizzgo des conséquences manifestement excessives la conduisant à s'arrêter et l'empêchant de facto de poursuivre l'appel du jugement de première instance.

Le 26 décembre, l'ordonnance tombait "wizzgo est débouté" car n'établissant pas selon le premier Président, "que le maintien de l'exécution provisoire était de nature à entraîner des conséquences manifestement excessives". Ce jugement balayait purement et simplement les attestations comptables produites qui, sans qu'il y ait besoin d'être diplômé en comptabilité, démontraient qu'en l'état, wizzgo n'avait ni la trésorerie ni le chiffre d'affaires, ni aucune capacité de recapitalisation lui permettant de payer les dommages et intérêts et a fortiori de continuer son exploitation.

Pire, l'avocat d'une des parties déclarait même à la barre qu'il souhaitait que les condamnations soient maintenues pour que wizzgo soit liquidé !

L'affaire était entendue et clairement exprimée dans l'enceinte d'un tribunal français : la condamnation financière n'a rien à voir avec le préjudice, la réparation ou toute estimation de perte de valeur, elle vise à mettre à mort une société et lui ôter toute possibilité d'appel. Sans que cela ne soit une conséquence manifestement excessive…

J'oubliais : au passage on a repris 10.000 euros de condamnation supplémentaire.


Autant dire que notre fin est proche.


PS : la pétition est encore en ligne >>>







lundi 19 janvier 2009

Combien gagne un chanteur ?

PARIS, 19 jan 2009 (AFP) - Francis Cabrel est largement en tête des chanteurs qui auraient touché le plus d'argent en France en 2008, avec 4 millions d'euros, devant Bénabar (2,3 millions) et Johnny Hallyday (2,2 millions), selon le classement établi par Le Figaro dans son édition de lundi.

Cette liste des "dix chanteurs les mieux payés de l'année" compte 9 "millionnaires" en chiffre d'affaires, avec en quatrième position Christophe Maé (2,1 millions), suivi de Bernard Lavilliers (1,8 million), Thomas Dutronc 1,45), Mylène Farmer (1,4 million), Alain Souchon (1,3) et Renan Luce (1 million). Le dixième, Christophe Willem, a amassé 985.000 euros.

Bien que l'absence de données officielles rende les revenus des chanteurs difficiles à cerner précisément, en 2007, le trio de tête était Michel Polnareff (5,71 millions d'euros), Johnny Hallyday (3,02 millions) et Yannick Noah (2,3 millions).

"Les artistes qui ont percé sont pour la plupart auteurs et compositeurs, (...) ils sont plus polyvalents que leurs aînés souvent uniquement interprètes", remarque dans Le Figaro Jean-Jacques Laham, consultant du cabinet de conseil en stratégie Booz & Company, qui a participé à l'enquête.

Six chanteurs qui se trouvaient dans les dix premiers en 2007 ont disparu de la liste 2008 : Michel Polnareff, Yannick Noah, Zazie, Michel Sardou, Calogero et Vanessa Paradis.

dimanche 18 janvier 2009

Le bon sens, près de chez vous...


“La radio est dans le monde de la convergence numérique. Les stations qui gagnent ont des contenus, s'appuient sur des sites internet de qualité qui apportent un plus” - Jean-Paul Cluzel - PDG de Radio France.

Yves Malbrancke est (...) convaincu que les radios musicales doivent travailler leurs contenus pour enrayer leur chute, comme, par exemple, “trouver des animateurs à forte personnalité”.

L'article en entier sur le blog de Michel COLIN


The Prodigy | Omen



Omen, nouveau single de The Prodigy à paraître le 16 février au Royaume-Uni, est désormais en écoute sur la page Myspace des Anglais.

Idée : SOV

Le son de cette vidéo et la vidéo elle-même sont de mauvaise qualité, mais ça donne une bonne idée de l'énergie du groupe sur scène ;-)

SPAWN : the ultimate voice !


Spawn : "Is this how you protect and serve ?"








J'adore... Quand j'aurai fini ma mue, j'aurai la même voix que lui !
Je vais m'acheter des cordes vocales et je reviens ;-)





Eric MADELON

samedi 17 janvier 2009

U2 | Get On Your Boots (Preview)

Un peu frustrant, mais c'est mieux que rien ;-)

Eric MADELON





From U2 Spain

Plus d'infos sur U2 France

Et sinon, pour le plaisir :

vendredi 16 janvier 2009

Pierre BELLANGER ne pense pas qu'avec sa b...!

Pierre Bellanger : "Le moteur de la croissance sera l’Internet mobile, la radio se placera dans son sillage"

Plus personne ne doute que la radio soit à un tournant de son histoire. Depuis quelques années les sondages montrent un affaiblissement lent mais inéluctable de son audience. Bien qu’elle reste à un très haut niveau, avec plus de 80% de la population française à l’écoute au quotidien. Pierre Bellanger, le fondateur de Skyrock, et des premiers réseaux libre du début des années FM, s’est penché avec une rare acuité sur cette problématique. Celle d’un média confronté à l’émergence de l’âge des réseaux.

A cette occasion nous publions un entretien avec le Pdg de Skyrock

- ElectronLibre : Vous survolez les autres domaines, comme la musique ou la télévision dans votre analyse. Si vous appliquez le même raisonnement qui prévaut avec la radio, soit le retour à une essentialité du média, quels genres de modèles ou de services réussiront à s’adapter à l’arrivée de l’internet ?

- Pierre Bellanger : Retrouver sa mission, se libérer des moyens traditionnels pour y répondre et intégrer à cette nouvelle expression d’une part l’intelligence collective des utilisateurs, clef du succès de masse sur Internet et d’autre part la conversation électronique car la force d’Internet c’est le réseau social d’échanges électroniques. Après c’est à chacun d’imaginer, d’entreprendre. Tout le monde est en train de bouger dans ce sens.

- EL : L’arrivée de l’âge du réseau ne serait-il pas celui d’une mutation de la radio et des médias en général. Les groupes comme le Figaro, Libération ont choisi de concentrer leurs efforts sur un développement de leur marque et de leurs contenus via tous les types de médias. Ils ont des studios de télévision, et produisent des radios en ligne. Est ce une voie sans issu ? Ou, bien au contraire, la radio ne devrait-elle pas en faire de même et investir d’autres types de médias ?

- PB :Chacun réagit aux temps nouveaux avec ses équipes, sa culture et ses ressources, ce qui fait de chaque media une équation particulière, par conséquent, seul le pragmatisme compte, il n’y a pas de mauvaise réponse a priori. Ces périodes de transition sont si difficiles qu’on ne peut que saluer le courage nécessaire pour s’en sortir et s’abstenir de toute leçon péremptoire. Pour Skyrock, nous nous sommes « nétamorphosés ». C’est-à-dire que nous avons, d’une part, réinventé sur Internet notre vocation de libre expression populaire de la nouvelle génération en créant notre réseau social skyrock.com - qui compte aujourd’hui 35 millions de membres - et, d’autre part, la radio, quatre millions d’auditeurs chaque jour, s’est branchée sur la conversation électronique. Le studio d’antenne, notamment l’émission de Difool, est en relation directe avec les messages écrits des auditeurs qui arrivent par dizaine de milliers chaque jour. Cette mutation positive se poursuivra avec l’évolution de la radio sur Internet : la radio IP.

- EL : Le rapport que vous établissez entre "sites de communautés" et le ciblage marketing ou publicitaire, semble être un glissement de l’identité de la personne vers son adresse IP. Or, il n’est pas certain du tout que cela ne soit pas un nouvel écran, qui relativise encore la révolution marketing que vous annoncez. Toujours sur ce même sujet, de l’hyper-publicité, comment faites vous pour garantir que l’auditeur de Skyrock soit bien un utilisateur des SkyBlogs ? Et cela a-t-il d’ailleurs un sens...

- PB : Sur Internet les machines sont identifiées par une adresse et chaque machine en réponse à sa requête transmise à un serveur reçoit un message propre. Cette faculté permet de différencier les messages publicitaires au sein d’un programme en fonction des machines qui les reçoivent. Si l’on rapproche l’adresse de la machine, de son utilisateur - que l’on peut connaître et qualifier par ailleurs – il devient possible de constituer en temps réel des cibles et d’adresser à chacune, en même temps, des messages différents au sein du même programme. Si l’auditeur est membre d’un réseau social comme skyrock.com, il est probable qu’il se soit « logué » pour interagir et que par conséquent on puisse disposer d’une meilleure probabilité de qualification. Bien entendu, il existe de multiples autres méthodes de qualification utilisées actuellement sur le Web.

- EL L’impression que suscite votre analyse sur les raisons du succès futur des radios "vivantes", est une sorte d’euphorie, qui se rapproche de la conviction que "faire bien" est toujours récompensé. Vous rééditez cette analyse sur la partie consacrée au code informatique. Or, justement Windows a prouvé que la qualité du code n’a pas grand chose à voir avec son succès. Si l’on prend le contre pied de cette conviction, on peut ainsi établir finalement que des radios sans intérêts intrinsèques seront les grandes gagnantes sur l’internet car elles auront pallié leur manque de qualités par une meilleure distribution globale ou une astuce marketing. Voire un très fort investissement porté par un grand groupe. Qu’en pensez-vous ?

- PB : Le concept de radio vivante n’a rien à voir avec les notions de « faire bien » ou de « faire mal ». Il exprime le fait que c’est la seule forme de radio qui n’est pas avantageusement remplacée par des offres informatiques. Allez dire aux radios musicales de catalogue que c’est de l’euphorie ! En ce qui concerne le code informatique, j’exprime le fait qu’à armes égales, le meilleur gagne. Cela signifie qu’il est difficile de combattre Microsoft dans l’univers PC car Microsoft contrôle le principal système d’exploitation. En revanche, personne ne contrôle Internet et l’accès au réseau est libre, par conséquent une start-up comme Google y est à armes égales contre Microsoft. Ce qu’ils ont démontré. Les investissements sont certes le carburant de la course mais encore faut-il avoir un moteur.

- EL : Les puces multi-standards pour la réception des programmes via n’importe quels protocoles, hertzien, ou non, ne semblent pas être à l’heure. Et surtout n’avoir aucune place prévues dans les téléphones mobiles.
Les radios n’auraient donc d’autres alternatives que de passer par l’IP, sans autres passerelles vers l’auditeur. Comment alors résoudre l’équation financière ? Combien selon vous serait il nécessaire de taxer les agrégateurs ?

- PB : Les puces multistandard pour la radio et la télévision sont développées par Samsung, Intel, Qualcomm et Philips – notamment – depuis déjà plusieurs années tandis que Nokia et Siemens, par exemple, travaillent à leur intégration. Elles seront au cœur des prochaines générations de terminaux mobiles, comme des autres récepteurs intelligents. Les différents modes de diffusion et de réception coexisteront sans que l’utilisateur n’ait à s’en préoccuper puisqu’une même intelligence informatique décodera tous les signaux qu’ils soient numériques ou analogiques. Le moteur de la croissance du parc sera l’Internet mobile, la radio se placera dans son sillage. Pour les agrégateurs de programmes, la contractualisation entre parties suffit.

- EL : Vous stigmatisez les radios "main stream", véritables aspirateurs à publicité, mais sans saveur, ni prise de risques. Comment faire en sorte que les annonceurs prennent eux, le risque d’investir sur des médias forcément dérangeants, car "vivant", pour reprendre votre terminologie. N’est ce pas le problème que rencontre Skyrock et Skyblog ?

- PB : Je ne stigmatise personne et n’emploie pas le terme « main stream », j’explique que certains programmes sans valeur ajoutée sont menacés dans un univers véritablement concurrentiel comme le sera la radio IP. Quant à Skyrock, c’est le premier média radio et Internet de la nouvelle génération. Les plus grandes marques françaises et internationales nous font confiance avec raison. Nous sommes devenus une référence et une garantie de succès. Le risque a changé de camp. Le marché a compris Skyrock.

Source : Electron libre

Le nouveau FRANZ FERDINAND le 26 janvier



Relations Media / Communication
01 53 16 15 15

Radios nationales cocto@musicmediaconsulting.net
Radios Province greg@musicmediaconsulting.net
Radios Province maxime@musicmediaconsulting.net
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Radios adultes thomas@musicmediaconsulting.net

jeudi 15 janvier 2009

Les secrets de la longévité en radio: comment faire pour durer ?



;-) Just Get It On !

Source : Ginie


Les radios musicales en péril

Voici un extrait de l'article de Renaud REVEL sur son Blog Médias, au sujets des derniers sondages Médiamétrie d'aujourd'hui... J'aime bien ce passage, que je reproduis ici.

Eric MADELON

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"Le monde de la radio connaît un séisme. C’est une lame de fond, silencieuse, mais puissante, qui semble lentement laminer l’audience des musicales. Sondage après sondage, les ténors de la FM, NRJ, RFM, Fun Radio, RTL2, Chérie FM ou encore Virgin Radio, voient leurs parts de marché se réduire, victimes d’Internet, où la jeune génération va désormais picorer et piocher. Le phénomène va grandissant, au point que l’on peut s’interroger sérieusement sur l’avenir d’un modèle économique en péril.

Le dernier sondage Médiamétrie, publié ce matin, confirme magistralement cette tendance. Toutes les musicales piquent du nez, à l’exception de Skyrock, une station à part, quasi communautaire en raison de l’impact sur toute une génération d’auditeurs de son animateur vedette, Difool. Pour le reste c’est la Bérézina.

L’érosion des musicales fait le bonheur des généralistes. (...)"

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L'article en entier est bien sur dispo. sur immédias, le blog de Renaud REVEL

Audiences des Radios Françaises

PARIS, 15 jan 2009 (AFP) - RTL reste la première radio de France en terme d'audience cumulée pour la période novembre-décembre 2008, creusant l'écart avec NRJ qui vient en deuxième position, tandis que France Inter et Europe 1 progressent nettement, selon une étude Médiamétrie publiée jeudi.

Selon le critère de la part d'audience, la radio généraliste RTL est également en tête devant ses concurrentes France Inter et Europe 1, NRJ arrivant ensuite à égalité avec France Bleu.

Pour la période novembre-décembre 2008, RTL, qui demeure première radio de France pour la dixième fois consécutive, est créditée de 12,7% d'audience cumulée, contre 12,2% en septembre-octobre 2008 et 12,9% en novembre-décembre 2007.

L'audience cumulée mesure le pourcentage de personnes ayant écouté une radio donnée au moins une fois dans la journée, tandis que la part d'audience tient compte de la durée d'écoute.

"Nous avons bien installé notre grille", s'est félicité Axel Duroux, patron de RTL, soulignant que "de vague à vague la radio progresse de 0,5% comme Europe 1".

Derrière RTL et à tout juste deux point d'écart, la station musicale NRJ obtient 10,7% d'audience cumulée, contre 10,4% en septembre-octobre 2008 et 11,5% en novembre-décembre 2007.

Quant à France Inter, la station enregistre un très bon score en réunissant 10,6% d'audience cumulée contre 10,2% en septembre-octobre 2008 et 9,9% en novembre-décembre 2007.
Jean-Paul Cluzel, Pdg de Radio France, s'est félicité des audiences de France Inter "qui réalise son meilleur résultat depuis plus de 5 ans", soulignant que "France Bleu redémarrait en force". "C'est la tranche 7h30/8h de France Inter, typiquement dans l'esprit Inter, avec de l'information sérieuse et en même temps des tranches d'humour, qui tire les autres", a-t-il analysé.

Europe 1 gagne une place en passant devant France Info avec 10% d'audience cumulée, contre 9,5% en septembre-octobre 2008 et 9% en novembre-décembre 2007. "Dès septembre, nous avons redéfini un nouveau modèle, repositionné la radio sur un format généraliste", a commenté Alexandre Bompard, PDG d'Europe 1. "Lors de la dernière vague, une dynamique s'était enclenchée. Elle s'amplifie. Nous franchissons des seuils symboliques: plus de 5 millions d'auditeurs, notre troisième meilleure audience de l'histoire, ça nous donne plein d'encouragment pour poursuivre la route", a-t-il ajouté.

France Info arrive en cinquième position avec 9,1% d'audience cumulée contre 9,3% en septembre-octobre 2008 et 9,6% en novembre-décembre 2007.

Du côté des radios musicales, Skyrock, qui gagne une place sur un an, arrive en sixième position avec 7,8% d'audience cumulée contre 7,6% en septembre-octobre 2008 et 7,3% en novembre-décembre 2007. Derrière se classe Nostalgie, une autre radio du groupe NRJ.

En novembre-décembre 2008, 42,7 millions de personnes en moyenne ont écouté la radio chaque jour contre 43 millions pour la même période de 2007. La durée d'écoute par auditeur (13 ans et plus) est de 3h par jour.

Chez Médiamétrie, on note que l'audience de la radio est tirée par les stations généralistes, avec une progression significative d'auditeurs ouvriers et employés venus s'ajouter aux cadres. Un phénomène qui s'explique par la crise économique et financière qui suscite un fort besoin d'information, selon l'institut.

lundi 12 janvier 2009

Qui connaît quelqu'un à La Réunion ?

Chérie FM Réunion a été autorisée à reprendre le programme de Rire et Chansons et 102 FM (La Réunion) à reprendre celui de Chérie FM.

Source : CSA

Motown celebrates its 50th Birthday today

Iconic label was started in 1959 with an $800 dollar loan

One of the world's most important and iconic record labels, Motown, celebrates its 50th birthday today (January 12).

The Detroit label - home to Marvin Gaye, Stevie Wonder, The Supremes and The Jackson 5, among many others - was founded by record producer Berry Gordy on January 12, 1959.

Gordy started the label, which was originally called Tamla, with an $800 loan from his family.

The first act signed was called The Matadors (later The Miracles), who's lead vocalist was Smokey Robinson.

Motown's Hitsville USA studio, a garage that Gordy purchased and renovated, was famed for its 'production line' recording process - with classic songs being churned out on an astonishingly regular basis.

Stevie Wonder's 'Superstition', The Marvelettes 'Please Mr Postman' and Marvin Gaye's 'I Heard It Through The Grapevine' were just some of the label's most notable hits.

Motown also released Martin Luther King's civil rights speeches on its Black Forum subsidiary label.

The label found enduring success across the world, and Motown songs continue to be covered and referenced by artists today.

Acts as diverse as George Michael, The Beatles, The Jam, The Beach Boys, The Slits and Delroy Wilson have recorded Motown covers.

To celebrate the 50th Birthday of Motown, NME.COM has dug out some of the best unheard classics from Motown, which you can hear on our blog now.

You can also read the stories behind 15 classic Motown songs at NME.COM/PHOTOS.

We've also got a host of stars - from Kings Of Leon to Ladyhawke - to pick their favourite Motown songs in the latest issue of NME, available on UK newsstands now.


Source : NME

-M-, alias Matthieu Chedid, quitte la maison de disques EMI pour Universal

PARIS, 9 jan 2009 (AFP) - Le chanteur -M-, alias Matthieu Chedid, un des poids lourds de la musique française, a quitté la maison de disques EMI pour rejoindre une autre major, Universal, a indiqué cette dernière à l'AFP, confirmant une information du site internet 20minutes.fr.

-M-, 37 ans, est désormais sous contrat avec Barclay, un des labels d'Universal.

Ce label est également celui de Vanessa Paradis, une proche de -M-, qui lui avait écrit l'essentiel de son dernier album, "Divinidylle" (couronné album de chansons/variétés de l'année aux Victoires de la musique 2008). -M- a en outre accompagné la chanteuse en tant que guitariste lors de sa tournée.

Interrogé par l'AFP, Barclay n'a pas donné de précision sur la date de sortie du nouvel album de -M-, le premier pour Universal. Son dernier album studio, "Qui de nous deux?", paru sur l'un des labels d'EMI, Delabel, remonte à 2003.

Dans la foulée, -M- avait remporté en 2005 quatre Victoires de la musique (album chansons/variétés, artiste interprète masculin, tournée et DVD musical).

En 2007, il avait reçu le César puis la Victoire de la musique de la meilleure musique de film pour la bande originale du long métrage de Guillaume Canet "Ne le dis à personne".

"Je suis très content de l'arrivée de Matthieu, c'est un artiste créatif, riche et complet qui peut en plus écrire pour d'autres artistes", a déclaré Pascal Nègre, le président d'Universal Music France, à 20minutes.fr.

Pour sa part, une porte-parole d'EMI France a indiqué à l'AFP: "Le contrat de Matthieu Chedid avec EMI Music est arrivé à terme avec l'album +En tête à tête+ (un disque live, ndlr), sorti en octobre 2005. Matthieu est un grand artiste et nous lui souhaitons beaucoup de succès."

EMI Music, troisième des quatre majors du disque derrière Universal et Sony-BMG et devant Warner, traverse une passe délicate, dans un contexte de crise pour l'industrie du disque.

Elle a été rachetée en 2007 par le fonds d'investissement Terra Firma. Celui-ci avait annoncé en janvier 2008 qu'il comptait supprimer 1.500 à 2.000 postes, soit environ un tiers des 5.500 emplois d'EMI dans le monde.

Ces derniers mois, EMI a fait face au niveau international à la fronde de plusieurs de ses artistes, en désaccord avec la politique de Terra Firma.

En juillet 2008, les Rolling Stones ont quitté EMI et rejoint Universal.

Radiohead avait décidé fin 2007 de ne pas renouveler son contrat avec la major, quelques mois après une décision similaire de Paul McCartney.

dimanche 11 janvier 2009

Du Leadership dans les jeux vidéos


Les jeux vidéos partagent schématiquement la population en quatre clans bien déterminés : les joueurs, addicted ou raisonnables, et les non-joueurs, indifférents ou dogmatiques. Les medias, ayant une sainte horreur de la demi-mesure - qui ne fait pas vendre, nous abreuvent d'histoires de no life perdus à jamais, contées avec force détail par des opposants invétérés. Amis de la nuance, passez votre chemin !
Tout de même, j'abuse... Les jeux orientés développement personnel, Entraînement du Pr Kawashima & Co, commencent à trouver reconnaissance. Leur usage est même prescrit par les professionnels de santé dans certains cas de problèmes neurologiques (déficit de l'attention, pathologies dégénératives comme l'Alzeihmer) et même en préventif chez les seniors pour stimuler la mémoire, le raisonnement et un bon usage des capacités cérébrales. Vive la plasticité cérébrale !

Résumons-nous, il y a des jeux qui font du bien et d'autres qui sont dangereux.

WOW En première ligne du peloton d'exécution : les jeux de rôle en ligne massivement multijoueurs (MMORPG), World of Warcraft (WOW) en étant le chef de file. En créant un avatar dans un monde parallèle, vous égalez Dieu et ressentez le devoir du créateur. Celui de revenir vite, longtemps et souvent pour aider votre créature à évoluer, à grandir, à relever des défis. Votre avatar, cet autre vous-même, réveille le héros qui sommeille en vous.

Addiction, possible, éducation, certainement aussi et j'avoue que cet aspect me fascine.

N'avez-vous jamais joué ou observé un joueur dans le feu de l'action. Un écran de WOW est digne du tableau de bord d'un avion de chasse : icônes partout, informations en flux continu, cartes synthétiques, scènes des combats et de la quête, messages incessants... Le joueur observe, agit, réagit, s'adapte, communique, dialogue, négocie, décide... sous la contrainte du temps qui l'éloigne à chaque instant de son objectif. Tout sauf de l'oisiveté !
Dans les MMORPG, les chefs de guilde vont encore plus loin puisqu'ils recrutent, organisent, motivent et dirigent des joueurs distants, plusieurs centaines pour les guildes avancées, vers un but commun. Bryan Reeves, de Stanford University, et Tom Malone, du MIT ont été les premiers à oser le parallèle entre leadership dans le jeu et dans le monde de l'entreprise. Sur ces bases, IBM a souhaité approfondir le sujet en menant une étude en interne : Leadership in a distributed world - Lessons from online gaming. Passionné par le Leadership et les jeux vidéos, je ne pouvais passer à côté.


IBM a interrogé 214 consultants gamers, dont 137 pratiquant les MMORPGs, 66 ayant assumé la responsabilité de chef de guilde, pour leur demander quels comportements de leadership étaient les plus pertinents dans le monde du jeu et dans celui de l'entreprise.
Le questionnaire explorait 4 dimensions du Leadership, d'après un modèle du MIT Sloan (Peter Senge, Tim Malone...) :
- Développer une Vision de ce que l'entreprise peut devenir dans le futur
- Evaluer rapidement les multiples informations pour décider de la bonne stratégie
- Favoriser le travail collaboratif
- Maîtriser l'exécution en obtenant le meilleur des équipes

Les résultats de l'étude indiquent nettement que les joueurs estiment que ces comportement sont adéquats dans les deux univers, avec toutefois quelques différences de pondération. La Vision est jugée prépondérante en entreprise tandis que c'est la Collaboration qui prédomine dans le jeu. Les auteurs ne manquent pas de souligner que ce critère devrait se renforcer dans les entreprises.
"The social skills learned in these environments are highly transferable to real life. After all, providing leadership for and managing over 100 people is an incredibly complex task no matter where it occurs."
Lorsqu'on demande à ces joueurs consultants s'ils pensent que le jeu a renforcé leurs capacités de Leadership, 49% répondent Oui. 75% pensent que les outils qui favorisent l'expression du Leadership dans le jeu (chat, messagerie instantanée, avatars) seraient également favorables dans l'entreprise.

Les auteurs concluent que dans ce monde toujours plus global et rapide, les entreprises devront s'interroger sur les qualités du leader de demain... et lorgner du côté des MMORPGs.

Alors, après Innov8, le serious game d'IBM dédié au Business Process Management, à quand un serious game consacré au développement du leadership ?



Source : Olivier Piazza

samedi 10 janvier 2009

Lutte contre l’apartheid et la guerre : des stars de Hollywood boycottent Zara


Des stars de Hollywood (dont Salma Hayek, Sharon Stone, Whitney Houston, Halle Berry, Drew Barrymore, Brooke Shields, Andie Macdowell et Lucy Liu) ont exigé le retrait immédiat de leurs photographies sur les sites internet de Lev Leviev (marques : Zara, Bershka, Pull and Bear, Massimo Dutti, Stradivarius, Oysho, Kiddy’s Class - Skhuaban, Zara Home, Uterqüe).

Déjà l’ONG britannique Oxfam depuis janvier 2008 et l’UNICEF depuis juin 2008 ont coupé tout lien avec le célèbre milliardaire (210e fortune du monde) et refusé tout don de sa part, compte tenu de l’origine criminelle de sa fortune et des projets illégaux qu’il finance..

Lev Leviev, principal concurrent de De Beers, a constitué un empire financier sur l’exploitation des diamants africains, notamment angolais, en entretenant des situations de guerre. Via la holding Africa Israël Investments, il possède aujourd’hui de nombreuses sociétés immobilières dans le monde (Danya Cebus, AFI), des groupes financiers, des hôtels, des sociétés gazières et pétrolières (Alon/Fina), des médias (Israel Plus TV) et des chaînes de mode. En violation des résolutions de l’ONU, il a utilisé sa fortune pour construire des colonies de peuplement sioniste en volant des terres dans les Territoires palestiniens.

Vous aussi, vous pouvez exiger le respect du droit international : boycottez les sociétés qui servent au financement de l’apartheid et de la guerre.

Source : Réseau Voltaire

vendredi 9 janvier 2009

Michael Jackson se réinstalle en Californie

LOS ANGELES, 7 jan 2009 (AFP) - Le roi déchu de la pop Michael Jackson s'est réinstallé en Californie (ouest), plus de trois ans après avoir quitté l'Etat à la suite de son acquittement dans un procès pour attouchements sexuels sur mineur, a annoncé mercredi le Los Angeles Times, en citant son porte-parole.

Selon Tohme Tohme, Jackson, qui a fêté ses 50 ans l'été dernier, loue un manoir dans le quartier huppé de Bel-Air, dans l'ouest de Los Angeles, pour 100.000 dollars par mois. De style "château français", la demeure compte sept chambres, 13 salles de bain et une salle de cinéma privée.

Le chanteur emblématique des années 1980 voulait être "plus près de là ou l'action se passe" dans le secteur du divertissement, a expliqué M. Tohme. Jackson a signé un bail d'un an et pourrait mettre à profit ce laps de temps pour se faire construire sa propre maison dans la région, selon lui.

Michael Jackson, ancienne idole planétaire, a quasiment disparu de la scène publique depuis juin 2005, lorsqu'il a été acquitté dans une affaire d'attouchements sexuels sur mineur par le jury d'un tribunal de Santa Maria (200 km au nord-ouest de Los Angeles).

Peu après la fin du procès qui avait provoqué une effervescence médiatique considérable, Jackson a quitté la Californie pour vivre entre autres à Bahreïn dans le Golfe, puis en Europe et à Las Vegas (Nevada, ouest).

Son fameux ranch de Neverland, non loin de Santa Maria, est resté à l'abandon, tandis que des informations de presse contradictoires faisaient état de la saisie de ce domaine de 1.000 hectares, en raison de défauts de paiement sur un prêt hypothécaire contracté par Jackson.

Les promesses répétées de Michael Jackson d'enregistrer un nouvel album, le premier depuis 2001, puis de repartir en tournée, ne se sont pas concrétisées pour le moment.

jeudi 8 janvier 2009

Toxic Sonic | Can't Stand Xmas



Formé durant l'été 2008 avec MAC (Pravda) à la guitare et au chant, MIR à la basse et au chant et Alex aka NECROS (ex Pravda, Lycosia, Dead Sexy Inc...) à la batterie.

Le groupe à peine lancé a déjà joué une vingtaine de dates en France, au Royaume Uni, en Suisse et en Allemagne et même au Venezuela !

Le but de Toxic Sonic est de replacer le fun au centre du Rock !

Source : Merci Céline ;-)


mardi 6 janvier 2009

Ethnologie de la "Bonne Année" :-)


Oui, il est bon de rire parfois. C'est pourquoi je vous invite à découvrir une espèce qui ne pointe son nez qu'un mois par an...

Cliquez sur >>  2009   <<  et ensuite, sur "continue". Votre lecteur audio va faire le reste !

Eric MADELON

samedi 3 janvier 2009

PRINCE is back !

Prince is planning to release three new albums in 2009.

The singer says he has almost completed two solo albums, tentatively titled 'MPLSOUND' and 'Lotus Flower', as well as a record with his protégé Bria Valente called 'Elixir'.

All three albums are likely to be released by Prince independently, with the LA Times reporting that the star is in negotiations with a major US retailer to distribute physical copies of the music.

'MPLSOUND' allegedly features a guest appearance by Q-Tip, and Prince says the electro-tinged album sees him experiment with "new ways of recording". 'Lotus Plant', which was previewed on US Radio station Indie 103.1 in December, is said to be a more guitar-based record.

Speaking of 'Elixir', his collaboration with Valente, Prince revealed that the music is "nasty, but it's not dirty". He also compared Valente to Sade.

Prince previewed new song ‘There Will Never B Another 1 Like Me' online on December 22. The track appeared on mplsound.com, although the website is currently inactive.

Source : NME