vendredi 29 mai 2009

Les chanteurs morts rapportent toujours autant.

Il y a des exemples + récents, mais avec cette vente aux enchères des lettres d'amour d'Edith PIAF, je trouve que l'Homme touche le fond de la récupération...

Même si cet argent va à une œuvre quelconque, je trouve inélégant de vendre cet intimité là.

Mais bon, les gens achètent toujours Voici, alors...

XX
E

==

Des lettres d’amour d’Edith Piaf aux enchères

La chanteuse adressa des missives enflammées à son amant, le cycliste Louis Girardin. Elles seront mises aux enchères le 25 juin chez Christie’s, à Paris.

« Crois-tu donc mon bel adoré que si je te mettais au même rang que les autres, j’aurais enlevé la photo de Marcel ? » écrit la môme Piaf à son amant. Puis : « Tu m’as repêchée à temps, écrit-elle ainsi, (...) j’ai fait le serment à l’Église que si tu venais je ne toucherais plus jamais un verre d’alcool de ma vie ».

Cinquante quatre lettres enflammées, inédites et estimées entre 50 000 et 80 000 euros. Après la disparition de Marcel Cerdan en octobre 1949, la chanteuse de « La vie en rose » noua une relation amoureuse avec le champion cycliste Louis Giradin, dit Toto. Les lettres inédites que la maison Christie’s met en vente prochainement sont datées du 15 novembre 1951 au 18 septembre 1952. Peu après, Edith Piaf se mariera à New York avec Jacques Pills.

Source : AgoraVox

jeudi 28 mai 2009

mardi 19 mai 2009

LinKin Park | New Divide Official Video Trailer




Linkin Park are giving you a small glimpse into the making of "New Divide," their new song for Transformers: Revenge of the Fallen. The track is available on iTunes beginning May 18.

samedi 16 mai 2009

Cette nuit, au Queen...











Hier soir, Joachim GARRAUD jouait au Queen à Paris.

Après être allé tester un Banana-Colada à L'impala Lounge à côté avec Cocto, vers 1h45, nous sommes descendus dans cette boîte où nous étions déjà ensemble dans les années 90 pour l'ouverture... En fait, on avait un peu l'impression de rentrer dans notre chambre...

Joachim était très excité de jouer là ! Il semblait avoir une fourmilière dans le froc tellement il bougeait ! Il a profité de son passage au Queen pour annoncer officiellement la sortie de la compilation Space Party Mission 1 / Ze Beat Galactique le 1er juin 2009 !

Dans les soirées, on va pouvoir mixer ce que joue Joachim ! C'est pas énorme ? Bon, pour les 50 ans de mariage de Papy & Mamy, ça risque de surprendre un peu, mais avec des potes, ça va déchirer :-):-)

Le Top 15 des titres plébiscités en clubs à travers le monde !


Space Party est déjà en pré-vente sur le site de la FNAC >>

"La Dance et ces artistes de "boîtes à rythme" sont devenus des exemples, des mythes, et sont parfois plus connus que des groupes légendaires appartenant à un tout autre registre. On peut alors parler véritablement d’une Génération Dance, d’une culture "Dancefloor".

SPACE PARTY se veut LA compilation de référence, dont l’objectif est de toucher un public à la fois large et branché, mais sans être élitiste. Un Top 15 (sur 2CD) des titres plébiscités par le milieu de la nuit à travers le monde, récoltés et testés par l’un des Dee Jay’s français les plus reconnus de la planète, Joachim Garraud lors de ses prestations aux 4 coins du Globe. Tous ces titres sont présentés dans leur version "extended", ce qui constitue un intérêt supplémentaire !"


+ d'infos sur cette soirée, à venir sur le Podcast vidéo de Joachim.


jeudi 14 mai 2009

La musique gratuite et légale avec Spotify


A l’heure où de nombreux responsables politiques nous martelaient que le tout-gratuit au sein de l’industrie musicale n’est pas possible (malgré la présence de modèles gratuits, parfois anciens : radio, télévision...), Deezer avait ouvert la voie de la musique illimitée et gratuite en streaming.



Spotify marche sur les mêmes traces, tout en venant combler un nombre impressionnant de lacunes. Nous vous en proposons un test complet.

Il est d’abord important de préciser que contrairement à son aîné Deezer, Spotify n’est disponible que sous forme d’application (pour Windows XP ou ultérieur, Mac OS X 10.4 ou ultérieurs). Ce choix se justifie à bien des égards, puisqu’il permet à l’éditeur du logiciel d’assurer que ses publicités ne seront pas simplement bloquées à l’aide d’un plug-in (tel Adblock pour Firefox), et lui permet en outre d’utiliser un codec de compression plus performant que le MP3 généralement utilisé dans les applications en Flash.

Il est aussi à noter que pour le moment, l’accès à Spotify est restreint par un système d’invitations (tout comme Gmail lors de son lancement).

==
(Non >> allez ici >> Inscription EM via jml22)
==

Vraiment gratuit ?

Le business model de Spotify reste basé sur le modèle gratuit, tout comme Deezer. Ainsi, après avoir reçu une invitation et créé son compte, on peut accéder à l’intégralité du catalogue immédiatement, moyennant quelques publicités.

Néanmoins, Spotify offre des alternatives supplémentaires payantes, qui ne nécessitent pas d’invitation. Il est possible d’acheter un passe de 24 heures, pour 0,99 €, supprimant les publicités. L’idéal pour sonoriser une soirée en toute tranquillité, par exemple.

L’abonnement Premium (9,99 € par mois) permet d’être débarrassé de ces publicités une bonne fois pour toutes, donne accès à un nombre supplémentaire d’invitations à distribuer à ses amis, et quelques bonus en outre (comme des morceaux en avant-première).

Ainsi, si on se doute que le modèle gratuit sera celui privilégié par une bonne majorité d’utilisateurs, Spotify laisse la possibilité de se passer de publicités moyennant le paiement d’un abonnement. Un choix appréciable.

"iTunes Music Store", version gratos ?

Une fois le soft lancé et les identifiants entrés, on arrive sur l’interface principale de Spotify. A première vue, peu de choses la différencient d’une page web en Flash.


La ressemblance avec le logiciel iTunes d’Apple est évidente, et assumée... les commandes sont peu nombreuses et vont à l’essentiel ; quelques contrôles de lecture, le volume, la recherche. Simple et efficace.

Sur une simple recherche, Spotify propose les pistes les plus proches, mais également un listing d’artistes ou d’albums correspondant aux termes voulus. L’occasion de constater dans un premier temps que le catalogue proposé est extrêmement complet, autant (si ce n’est plus) que Deezer.

Une fiche artiste typique propose une courte biographie, une liste d’artistes communs, les 5 titres les plus populaires sur Spotify... puis une discographie complète et classée, par ordre anti-chronologique. Le système a le bon goût d’afficher plus bas, séparément, les singles ou encore les compilations, et propose même de voir les albums sur lesquels un artiste/groupe fait de simples "apparitions". Un souci du détail à toute épreuve qui change du gros fouillis proposé sur Deezer...

La barre de faire, elle peut tout faire !

L’interface repose grandement sur le fonctionnement d’une barre latérale, qui comprend les raccourcis les plus importants : "Home", "Radio", "Play queue" (lecture en cours), mais également les derniers termes recherchés (une fonction rarement proposée, mais d’une grande utilité !) et, pour finir, vos playlists. Tout repose sur un système de glisser-déposer, instinctif mais qu’on a du mal à retrouver avec la même efficacité dans des interfaces en Flash.

A noter : vous pouvez donner des liens aux autres utilisateurs vers vos playlists, et même créer des playlists "collaboratives".

Ca va vite, ça va vite !

Le constat est sans appel : en double-cliquant sur un morceau, ça démarre instantanément. Non, vraiment ! Même si vous n’avez pas la meilleure connexion du pays, les serveurs de Spotify sont très réactifs et vous envoient la musique en moins de deux. Celle-ci charge assez rapidement en tâche de fond tandis que vous en écoutez déjà le début, comme pour toute application de streaming.

Il semble, comme déjà indiqué plus haut, que Spotify utilise un codec différent du MP3, car la qualité sonore proposée, au regard de la rapidité de chargement d’un morceau, est proprement bluffante ! Dire qu’à côté de cela, des plateformes de téléchargement légales payantes osent encore proposer du MP3 à 128kbps...

Je ne sais pas quoi écouter...

A l’instar de nombreux autres services d’écoute en ligne populaires (Deezer, Last.fm, Pandora...), Spotify propose un mode radio. Celui-ci vous permettra soit d’écouter de partir d’une fiche artiste, pour écouter des morceaux du même genre, soit de partir de zéro et de sélectionner un genre musical pour vous laisser bercer par une sélection automatique.

Là où Spotify va plus loin que les autres, c’est qu’il vous permet de faire une sélection assez personnalisée, en choisissant par exemple plusieurs genres musicaux simultanément, ou encore en choisissant vos décennies préférées... Vous pouvez combiner ces critères à l’envi pour obtenir le résultat le plus proche possible de vos attentes.

Les petits plus qui font la différence...

Spotify regorge de tout un tas de détails, pas forcément évidents à première vue, le rendant terriblement attractif.

Ainsi, les utilisateurs inscrits au service de statistiques Last.fm seront ravis de savoir que Spotify, contrairement à Deezer, est compatible avec le scrobbling, et permet donc de garder une trace de tous vos morceaux écoutés. Finies, les statistiques faussées !

De même, tout comme un logiciel "habituel" d’écoute musicale, Spotify prend le soin d’afficher le morceau que vous écoutez dans votre statut Windows Live Messenger, sous Windows.

Spotify permet encore d’activer la normalisation du volume entre les pistes... et tout un tas de petites choses qui le rendent indispensable.

Bilan

Spotify est, très clairement, une offre de musique légale comme on aimerait en voir plus. Evidemment, il subsiste quelques défauts (catalogue très fourni mais il manque encore certaines choses ; interface uniquement en anglais pour l’instant...). Mais, gratuite, illimitée, complète, peaufinée, l’alternative Spotify pourrait se payer le luxe de ramener dans le droit chemin quelques internautes s’étant égaré du côté obscur de la Force... ;-)

Réflexion faite, il s’agit là d’un beau pied de nez adressé à nos politiques, en France comme à l’international, à l’heure où la musique gratuite est montrée du doigt comme le responsable de tous les maux de l’industrie.

Le business model proposé par ce logiciel risque fort de changer les habitudes des têtes pensantes de l’industrie : finies les têtes de gondole de la Fnac, obtenues à grands coups de billets verts ; ici, chaque artiste est à égalité devant la boîte de recherche.

La popularité des accès internet mobiles aidant, on ne peut s’empêcher d’imaginer une application Spotify sur téléphones portables, et pourquoi pas sur lecteurs mp3... une véritable manière de légaliser à grande échelle un marché pour le moment gangrené par le piratage.

Pour résumer, on ne saurait que trop vous encourager à vous y mettre, si vous avez bien entendu la chance de récupérer une invitation. Faites péter la musique, légalement et gratuitement ; prouvez-leur qu’Internet n’est pas qu’un repaire de voleurs !

Source : Yoann FERRET pour Freenews (et Sur Techcrunch France en janvier)

mardi 12 mai 2009

Un nouveau "Guitar Hero" consacré à Van Halen


(Paris - Relax news) - L'éditeur Activision a confirmé lors d'un évènement organisé à Los Angeles aux Etats-Unis la mise en chantier d'un nouvel épisode du jeu musical Guitar Hero consacré au groupe Van Halen. L'opus verra le jour sur Wii, PS2, PS3 et Xbox 360 d'ici cet été aux Etats-Unis et avant la fin de l'année en Europe. La playlist sera composée des tubes qui ont bâti la légende du groupe américain de hard rock et des morceaux qui les ont inspirés tels que les titres de Queen, Weezer, Offspring ou Queens of the Stone Age.

En attendant l'arrivée de Guitar Hero : Van Halen, Activision proposera le 22 mai prochain en Europe un Guitar Hero dédié au groupe Metallica.


Ki ki fait mieux ?





Sinon, un titre rare de VH en Français. Pardon d'avance... pour le son...



Source : Comment ça marche ?
Inspired by : Ginie

lundi 11 mai 2009

GREEN DAY > Ecoutez tous les extraits du nouvel album !


21st Century Breakdown >>

Tous les extraits gratuits ICI ;-)

Enjoy ! Listen for FREE !!!

Warner Music : une dépréciation d’Imeem qui en dit long sur la stratégie des majors.


Dans quel état les majors du disque vont-elles laisser le marché, après que la crise aura fauché les unes après les autres toutes les start-up de musique en ligne qui ont émergé l’an dernier ? La dépréciation récente, par Warner Music, de ses investissements dans Imeem et Lala.com, en dit long sur la réponse à cette question.


Le Deezer américain Imeem, que l’on disait en cessation de paiement fin mars, vient de sauver sa peau une nouvelle fois. La start-up a convaincu certains de ses investisseurs, dont le fonds Sequoia Capital, de remettre au pot pour lui permettre de tenir quelques mois de plus. A defaut d’être de ce tour de table, Warner Music, actionnaire d’Imeem au même titre que les autres majors du disque, a effacé une ardoise de la start-up d’un montant de 4 millions de dollars dans ses comptes trimestriels.

Mais la major, qui affiche une perte nette de 68 M$ au premier trimestre 2009, sur un chiffre d’affaires de 668 M$ (- 16,5 % sur un an), doit surtout cette contre-performance à la dépréciation de la totalité ses investissements dans Imeem (16 M$) et, pour moitié, de sa participation dans un autre site de streaming américain, Lala.com (11 M$).

Selon les rumeurs qui circulaient la semaine dernière dans la Silicon Valley, l’ardoise totale d’Imeem à l’égard des quatre majors de la musique s’élèverait à 30 M$. Un chiffre contesté par un porte parole de la compagnie, qui parle d’une dette à un seul chiffre. La vérité est probablement entre les deux. Proportionnellement aux parts de marché de Warner Music, la dette d’Imeem s’élève certainement aux alentours de 20 M$.

Start-up condamnées à mort

D’évidence, la crise financière n’est pas la cause principale des difficultés d’Imeem et de ses consoeurs. Elle n’obère que leurs capacités de refinancement. Mais ce sont toutes de jeunes pousses encore fragiles, aux modèles économiques embryonnaires, que les majors n’ont aucune intention de ménager et qu’elles n’hésitent pas à plumer. On peut se demander dans quelle logique elles s’évertuent ainsi à tuer le marché dans l’oeuf.

CNN révélait il y a peu qu’Imeem vend sa publicité à 4 $ de CPM (coût pour 1000 affichages), ce qui ne couvre pas 40 %, dans le meilleur des cas, de ce que la compagnie doit reverser aux majors du disque au titre du minimum garanti par titre diffusé, soit 0,01 $. Seul un CPM à 10$ le lui permettrait, et encore ne couvrirait-il pas la part de revenus publicitaires que les majors doivent toucher, encore moins ses coûts opérationnels.

Toutes ces start-up de musique s’évertuent à multiplier les sources de revenus, qu’il s’agisse de vendre de la musique en téléchargement, des tickets de concert, des abonnements sur les mobiles ou du merchandising. Ainsi Imeem, en permettant de télécharger des playlists entières sur iTunes, a doublé ses revenus en provenance de la plateforme. Mais ce ne sont en l’état que des opérations pilotes, et les revenus générés sont insignifiants.

Sur le papier, toutes ces start-up, qui se retrouvent à devoir financer des pertes mensuelles se chiffrant en millions de dollars, sont donc condamnées à mort à très court terme. Une seule raison à cela, hormis la difficulté, désormais, à se recapitaliser pour faire face à l’avidité des grandes maisons de disques : la cherté des licences accordées pour le streaming interactif sur Internet.

Plus l’audience de ces sites croît, plus leurs coûts en bande passante sont élevés, et plus le montant des licences payées aux majors, qui augmente mécaniquement, est ruineux pour eux. Comme ils ne dégagent aucune rentabilité, leur sort est réglé d’avance.

Préserver l’oligopole des majors

Le problème n’est pas nouveau. Sauf que l’époque où des start-up comme Last.fm, à des années lumière d’être profitables, pouvaient espérer se vendre 280 M$, est désormais révolue. Le Deus ex machina est grippé.

Imeem a échoué, l’hiver dernier, dans sa tentative de se vendre au plus offrant. Et sa valorisation financière, estimée autour de 200 M$ à l’époque, a fondu comme neige au soleil. Pour les investisseurs, il n’y a plus aucune porte de sortie potentiellement lucrative. Car la matrice de toutes les bulles, la bulle financière, a explosé elle aussi. Capitaux, circulez, y a plus rien à voir !

Du coup les majors, qui ne veulent tout de même pas voir disparaître cette manne du streaming, lâchent un peu de lest. Certaines d’entre elles, dont Universal Music, ont déjà accepté de revoir le prix des licences accordées à Imeem à la baisse. Warner Music reconnaît négocier. Mais il ne s’agit que de maintenir Imeem sous perfusion.

En réalité, les grandes maisons de disques se soucient comme d’une guigne de voir les start-up de musique en ligne déposer leur bilan les unes après les autres. Le marché est bien verrouillé. Le prix des licences érige une barrière à l’entrée infranchissable. Le ménage se fera naturellement.

Au final, seul un petit nombre d’acteurs sous contrôle, dont elles détiendront certainement une part non négligeable du capital, se montrera capable de survivre, en payant le prix le plus fort possible. L’oligopole des majors sera préservé. Deezer sera devenu un sorte de NRJ 2.0. Les acteurs de l’innovation, comme les labels indépendants, n’auront plus que leurs yeux pour pleurer.

Source : Philippe ASTOR, pour ElectronLibre

dimanche 10 mai 2009

LOVE UNLIMITED ORCHESTRA | I'm So Glad That I'm A Woman



In the morning when I wake up
as I comb my hair
I can hear my daddy saying
It's a big big world out there
While putting on my make-up
His words clinger in the air
Just use much love I gave you
That you can make it anyway

I'm so glad that I'm a woman
I And know I wouldn't trade
I know I got it made

We are the life line of mankind
And now is the time for me
Life is much a challange
Live it day by day
You never know what's gonna happen
A what might come you way
Just stop and think about it
There is nothing we can do
We can't live without us and
We can't live without them too

Repeat

Petit Papa Noël version adulte



Pour acheter le CD, Cliquez sur TOXIC SONIC

Je sais, j'ai déjà diffusé cette vidéo, mais je l'avoue, j'aime cet esprit Pop Punk / Rock / Post-punk Glam-Punk / Death-Disco band !

> http://www.myspace.com/toxicsonic <

Ils seront le 15 mai à Paris au Showcase (8ème)
(Merci Céline pour l'update ;-))

Piqué sur Concerts.fr :

"Toxic Sonic, c'est Mac (Pravda) à la voix/guitare, Necros (Dead Sexy Inc, Lycosia) à la batterie/voix et Mir à la basse/voix.
Dire que Toxic Sonic équivaut à ce que Kiss auraient fait subir au Disco s'ils s'étaient appelés les Ramones et portaient des t-shirts Venom, ne donne qu'un indice de ce que ces artistes de la hype peuvent faire pour rendre brutalement l'atmosphère plus sexy et faire ressortir la bête en vous.
Toxic Sonic sont bien décidés à remettre le "fun" au centre du R'n'R, n'en déplaise aux gens sérieux!"

samedi 9 mai 2009

Thomas DUTRONC à Porto Vecchio, ce soir.

Pour avoir interviewé Thomas DUTRONC à Paris, je sais qu'il est réellement charmant. Sitôt qu'on lui parle de musique, ses yeux s'allument.
Musicalement parlant, il ne fait pas partie de mon univers, mais simplement parce qu'il aime la Corse, et parce que sa famille y est implantée depuis longtemps, j'écoute ce qu'il a à dire ;-)

Le 6, il était à Ajaccio, les 7 et 8 à Bastia, et ce samedi soir, il joue à Porto Vecchio. 

Voici ce qu'en dit Jean-Guy TALAMONI, avocat connu sur l'île...:


"Très beau concert de Thomas Dutronc, ce soir à Bastia. Il s’est fait applaudir en évoquant une île qui "préfère les guitares aux claviers"…
 Rappelons que Thomas Dutronc avait clairement soutenu l’action de Corsica Libera à Punta d’Oru, notamment à l’occasion de l’émission de Michel Drucker "Vivement Dimanche".

Vous pouvez consulter l’interview exclusive qu’il a donnée au journal A Nazione".

mercredi 6 mai 2009

Aaah, le Charme, la Poésie et la douceur de la langue Allemande !






RAMMSTEIN en France en novembre !



16/11/2009 - Nantes, Zénith Nantes Métropole
18/11/2009 - Basel, St. Jakobshalle, Suisse
19/11/2009 - Genève, Arena de Genève, Suisse
02/12/2009 - Lyon, Halle Tony Garnier
03/12/2009 - Strasbourg, Zénith
08/12/2009 - Paris, Bercy
09/12/2009 - Paris, Bercy

RAMMSTEIN Official

samedi 2 mai 2009

Attention ! Ca va faire un peu de bruit...

GALLOWS | The Vulture (Act II)



Official video for first single from Gallows album 'Grey Britain'. 'The Vulture' is out April 20th and 'Grey Britain' will be released May 4th '09.

vendredi 1 mai 2009

Comment voter pour (ou contre) quelque chose qu'on ne comprend même pas...

Après la règle de 3 du ministre de l'éducation nationale sur Canal + , voici le P2P avec les députés de notre bô pays moderne...



Définitions pour les Députés (enfin, pour les enfants des députés qui prendront leur Papa par la main pour leur faire lire ces lignes, en cliquant sur le mot pour en avoir la définition...):

Peer to Peer
BitTorrent
Streaming

Voilà ! Quand on prend 5 minutes pour chercher à comprendre, ça évite de passer pour un imbécile...